Catégorie : Sciences

  • Tolerating intolerance – Karl Popper

    Tolerating intolerance – Karl Popper

    « Unlimited tolerance must lead to the disappearance of tolerance. If we extend unlimited tolerance even to those who are intolerant, if we are not prepared to defend a tolerant society against the onslaught of the intolerant, then the tolerant will be destroyed, and tolerance with them. — In this formulation, I do not imply, for instance, that we should always suppress the utterance of intolerant philosophies; as long as we can counter them by rational argument and keep them in check by public opinion, suppression would certainly be unwise. But we should claim the right to suppress them if necessary even by force; for it may easily turn out that they are not prepared to meet us on the level of rational argument, but begin by denouncing all argument; they may forbid their followers to listen to rational argument, because it is deceptive, and teach them to answer arguments by the use of their fists or pistols. We should therefore claim, in the name of tolerance, the right not to tolerate the intolerant. We should claim that any movement preaching intolerance places itself outside the law, and we should consider incitement to intolerance and persecution as criminal, in the same way as we should consider incitement to murder, or to kidnapping, or to the revival of the slave trade, as criminal.”

    (Karl Popper, The Open Society and Its Enemies)


     

    “The discovery of instances which confirm a theory means very little if we have not tried, and failed, to discover refutations. For if we are uncritical we shall always find what we want: we shall look for, and find, confirmation, and we shall look away from, and not see, whatever might be dangerous to our pet theories. In this way it is only too easy to obtain what appears to be overwhelming evidence in favour of a theory which, if approached critically, would have been refuted.”

    (Karl Popper, The Poverty of Historicism)

    Sir Karl Raimund Popper CH FRS FBA was an Austrian-British philosopher, academic and social commentator. One of the 20th century’s most influential philosophers of science, Popper is known for his rejection of the classical inductivist views on the scientific method in favour of empirical falsification.

  • Résultats Webb: les cinq cibles

    Résultats Webb: les cinq cibles

    Demain, la NASA publiera les premières images en couleur du James Webb Space Telescope, JWST, des images mais aussi des données spectrales. Voici les cinq cibles de ces observations, montrées depuis des télescopes au sol, depuis Hubble, ou dans une illustration d’artiste.

    La NASA a mis le paquet pour cet événement avec l’annonce qu’a la Maison Blanche le Président Biden lui-même va dès ce lundi présenter en bref un des résultats.

    1) La nébuleuse Carina, est un incroyable assemblage de gaz et de jeunes étoiles à 8500 années-lumière. C’est un site de formation active d’étoiles, et comprend Eta Carinae, l’une des étoiles les plus massives que nous connaissions dans notre galaxie, 100 à 150 fois plus massive que le Soleil.

    Hubble a regardé une zone près du centre qu’ils ont appelée les Montagnes Mystiques dans l’optique et dans l’infrarouge. Nous ne savons pas actuellement où JWST pointait dans la nébuleuse.

    L’infrarouge permet de voir à travers la poussière le grand nombre de jeunes étoiles dans toute la nébuleuse. Les images de l’instrument JWST MIRI pourraient être utilisées pour examiner réellement des propriétés particulières de la poussière.

    2) La nébuleuse de l’anneau sud, distante de 2000 années-lumière, comme celle de la nébuleuse Hélix illustrée dans cette image Hubble. On observe ici l’état très tardif d’une étoile semblable au soleil après sa mort, laissant une étoile naine blanche près du centre.

    La grande enveloppe de gaz est constituée des couches externes de l’étoile qui ont gonflé du noyau nu, la naine blanche, une étoile faite de carbone presque pur de la taille de la Terre. Nous appelons ces objets « nébuleuses planétaires ».


    Dans l’infrarouge, Webb sera donc quelque peu différent.

    3) Le Quintette de Stephan, un groupe de cinq galaxies est très intéressante. Quatre des galaxies font une délicate danse de fusion, tandis que la cinquième, la bleue dans le coin supérieur gauche, est beaucoup plus proche de la Terre et n’est qu’une superposition fortuite.

    Les images infrarouges de JWST seront probablement très différentes de cette image de Hubble. L’image combine plusieurs images visibles et infrarouges du quintette de Stephan.

    Les données de Webb permettront très probablement de distinguer différent aspects de ces objets astronomiques complexes.

    4) Le champ profond de ce qui est appelé SMACS 0723 de plusieurs milliers de galaxies faisait partie d’une enquête appelée ‘RELICS’ (reliques) qui recherchait gravitationnellement des galaxies à lentilles.

    L’image du télescope Spitzer montre combien ces galaxies ressemblent à d’étranges arcs filandreux. Ce sont des galaxies très lointaines où la lumière qu’elles émettent a été amplifiée et étirée par la gravité de la galaxie brumeuse géante au milieu de l’image.

    Ces galaxies lentilles peuvent nous permettre de voir des objets extrèmement éloignés, la surprise attendue sera de voir à quelle distance Webb les place.

    5) La dernière cible est une planète extrasolaire pour laquelle les astronomes metteront en évidence le fait que JWST peut être utilisé pour comprendre les propriétés des objets en fonction de la longueur d’onde. Ici, ils libèrent un spectre de WASP 96-b, vraisemblablement de son atmosphère.

    Les recherches précédentes ont montré que cette planète de la taille de Saturne à Jupiter avait une atmosphère qui était apparemment exempte de nuages, c’est donc une cible parfaite pour voir s’il y a des éléments plus compliqués dans son atmosphère.

    WASP 96-b

    JWST a la capacité d’aller beaucoup plus loin avec son spectrographe, pour comprendre la chimie compliquée de l’atmosphère de cette planète.

    Cette semaine marque un tournant dans l’exploration de notre Univers, l’aboutissement d’années et d’années d’efforts de milliers de personnes. C’est littéralement un changement majeur. Les résultats présentés ce mardi illustreront jusqu’on pourra aller, et surement soulèveront infiniment des nouvelles questions.

    Sources : images divers et de l’astronome Kevin Hainline, membre de l’équipe JWST/NIRCam à l’Université de Tucson en Arizona.

  • Webb : Premières images et données

    Webb : Premières images et données

    C’est une frénésie qui a gagné le monde de l’astronomie avec la publication des premières observations du satellite James Webb, lancé à Noël dernier par Ariane 5, et qui s’est déployé sans un accroc malgré des moments critiques pour son avenir.

    Après des mois de calibration, ses quatre instruments ont pu viser des étoiles, galaxies et planètes lointaines et les résultats apparemment sont grandioses. Ils vont être dévoilés mardi 12 juillet lors d’une présentation pour laquelle la NASA et ses partenaires ont fait un effort de promotion spectaculaire. Par exemple, pour marquer cet événement, la ville de New York a décidé d’illuminer en couleur dorée, reflet du miroir principal de Webb, la pointe de la tour de l’Empire State Building.

    Les images et données de cinq observations vont être présentées. Cela s’étend d’un amas de galaxies distant de 300 millions d’années lumières à une planète à environ 6 années lumières. Il s’agit de « vues scientifiques » car il y aura non seulement des images mais surtout des spectres, des mesures des rayonnements électromagnétiques qui témoignent des processus physiques de/des objectifs visés. On pourra détecter par exemple si certaines ex-planètes ont des atmosphères et avec quels composants. Les quatre instruments de spectroscopie en infra-rouge ont été employés, dont MIRI collaboration de 10 pays Européens et du Canada avec les États Unis.

    « Une nouvelle exploration du Cosmos« 

    Pourquoi ces résultats sont tellement attendus? James Webb a été conçu pour prendre la relève du télescope spatiale Hubble et d’autre satellites mis en orbite, comme, dans le domaine des rayons X, XMM-Newton de l’Europe et Spitzer de la NASA.

    Aux longueurs d’ondes dans le visible et l’ultraviolet de Hubble, Webb apporte une nouvelle vision dans plusieurs gammes de l’infra-rouge. Mais l’acuité de vision de Webb, grâce à son immense miroir de 6,5m et ces instruments, est d’une puissance infiniment plus grande. Lors des calibrations, une image test montre bien ce que l’on pouvait voir avant et avec Webb.

    Mark McCaughrean, conseiller ‘Science et Exploration’ à l’Agence Spatiale Européenne, décrit ce saut d’échelle en avancée scientifique: « Il faut réaliser que ce que l’ont va dévoiler le 12 juillet représente que cinq jours de données. On en recevra autant tous les cinq jours. Ce flot de découvertes est comme ce que relâche un barrage qui se rompt. »

    Le Telescope James Webb est donc opérationnel, et les premières plages d’observations ont été attribuées. Grâce à la précision de mise en orbite par Ariane 5, la NASA estime que la durée de vie initiale prévue de 10 ans va être doublée.

    La journée de présentation du 12 juillet, retransmis depuis le Goddard Space Flight Center à Greenbelt, Maryland, sera disponible sur NASA TV, sur http://www.nasa.gov/webbfirstimages; les sites internet des agences partenaires et sur les réseaux sociaux à partir de 15:30 heure de Paris, .

  • Protégé : Découverte : Fleurs et émotions

    Protégé : Découverte : Fleurs et émotions

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  • Trous noirs

    Trous noirs

    100 questions, ironie de la chose en résolvant ce que sont les trous noirs, on termine sur deux questions qui sont tellement pointus, que l’on n’hésite à vouloir leur apporter une réponse, un peu comme répondre :

    Est ce une bonne idée de croquer dans la pomme de la connaissance ou est ce mieux de vivre heureux en étant ignorant 😉

    Est ce que savoir ce qu’il y a dans un trou noir, revient à savoir ce qu’il y à après la mort ?

    Réflexion à partir d’une lecture de l’astrophysicien Jean-Pierre Luminet, livre « Les trous noirs en 100 questions », à paraitre le 25 août 2022.

  • Webb, une vision très floue

    Webb, une vision très floue

    Si on compte ces points, positionnés de manière apparemment disparate, il y en a 18 de la même étoile. Comme une vision floue! Elle proviennent de chacun des 18 panneaux du miroir primaire du James Webb Telescope, panneaux qui ne sont pas encore alignés. L’image a été enregistrée par la camera NIRCam.

    Pour réaliser cet alignement, James Webb vise une étoile en particulier : HD 84406, à 260 années-lumière de notre planète, située dans la constellation de la Grande Ourse. Elle serait trop brillante pour en faire une cible scientifique, mais elle est idéale pour procéder aux réglages de James Webb.

    Il faudra maintenant deux mois pour focaliser chaque panneau et les 18 points ne feront qu’un. Webb sera alors en harmonie avec le cosmos! Une fois que ses quatre instruments scientifiques seront calibrés il pourra se mettre au travail. Première image prévue fin juin-juillet.

    Se focaliser sur soi-même!

    Autre cadeau de la NASA, un selfie qu’a pris Webb de son miroir principal. Non pas avec une camera sur une perche mais avec une lentille à l’interieur de l’instrument NIRCam.

     

  • Mini Soleil dans une marmite

    Mini Soleil dans une marmite

    La « marmite » nuclaire du laboratoire JET

    Un laboratoire anglais vient de prouver que la fusion nucléaire – comme celles au cœur des étoiles – peut produire une très grande énergie.

    Contrairement aux centrales nucléaires qui génèrent de l’énergie par fission en cassant des atomes, dans ce procédé deux formes d’hydrogène sont contraint à se fusionner.L’annonce a été faite par le laboratoire JET au Culham Centre for Fusion Energy qui travaille depuis 10 ans dans la perspective de la centrale ITER, coopération entre pays Européens, les États Unis, la Russie et la Chine, en construction en France. Cette installation ne sera achevée qu’en 2026 au plus tôt.

    Dans un caisson impressionnant, dans un plasma circulant à très grande vitesse sans toucher ses parois qui ne résisteraient pas à la chaleur, l’expérience de fusion a généré pendant 5 secondes 59 mégajoules d’énergie, cad. 11 mégawatts – l’équivalent de la puissance nécessaire pour réchauffer 60 bouilloires d’eau!

    S’exprimant à la BBC, Ian Chapman, directeur des opérations au laboratoire, qualifie l’expérience ainsi : « Nous avons démontré qu’on peut créer une mini-étoile dans notre machine et la tenir 5 secondes et obtenir une très grande puissance. Cela nous ouvre une nouvelle frontière. »

    Si la fusion nucléaire laisse la production sans limites d’énergie avec très peu de déchets radioactifs, il faudra cependant plusieurs dizaines d’années pour mettre cela à l’échelle du programme ITER, et la production industrielle d’une énergie propre qui manque tant à nos société.

    Image JET/BBC

  • Histoires d’astronomes – J-P. Luminet

    Histoires d’astronomes – J-P. Luminet

    Texte et image de Jean-Pierre Luminet postés sur sa page FaceBook. Je pense que je vais commander ce livre.

    Créer tant qu’il fait jour…

    Mon prochain livre paraît le 3 mars chez Buchet-Chastel. Il s’agit d’un recueil de nouvelles. En avant-première pour mes fidèles suiveurs sur facebook, voici son avant-propos :


    « Avec plus de 5 000 ans d’histoire l’astronomie est, on le sait, la plus ancienne des sciences. Présente dans toutes les cultures et toutes les civilisations, pratiquée au cours des siècles par des milliers de professionnels et des millions d’amateurs fascinés par l’énigme du ciel, elle offre un champ inépuisable d’histoires à conter et raconter, depuis les constructeurs de mégalithes du néolithique jusqu’aux aux purs intellectuels du XXIe siècle en quête d’une Théorie de Tout, en passant par les mages Chaldéens, les sages Chinois et autres prêtres Mayas.


    En Occident, depuis Thalès de Milet et La Fontaine, on imagine volontiers les astronomes comme des êtres éthérés, incapables de se plier aux contingences de ce bas-monde, toujours « dans la lune », au point de chuter au fond d’un puits, professeurs Tournesol ou savants Cosinus… Or, s’il faut en croire Shéhérazade en sa 849e nuit, ils sont bien autre chose que cela : « Mais les savants, ô mon seigneur, et les astronomes en particulier, ne suivent pas les usages de tout le monde. C’est pourquoi les aventures qui leur arrivent ne sont pas celles de tout le monde. » Aphorisme au demeurant déjà cité dans l’avant-propos de mes Bâtisseurs du Ciel , cette série de quatre romans déroulant les aventures vraiment hors du commun des Copernic, Tycho Brahe, Kepler, Galilée, Newton et autres comparses moins célébrés.
    Dans ce nouvel et plus modeste ouvrage, ce sont neuf nouvelles, neuf histoires qui veulent à nouveau réduire à néant ce cliché du savant distrait, évaporé, lieu commun trop rebattu. Extravagant, fantasque, excessif, anticonformiste, caractériel… Comment ne le serait-on pas quand on navigue entre l’immensité de l’univers, les calculs mathématiques les plus ardus, et le désir de gloire, sinon l’appât du gain, la menace du cachot ou du bûcher, les inévitables jalousies et la concurrence pas toujours loyale des chers et éminents collègues ?


    Chacune de ces histoires et de ses héros pourrait d’ailleurs faire l’objet d’un roman à part entière. Mais le temps qui file décidément à trop vite allure ne me permettrait pas de mener à bien pareils travaux d’Hercule littéraire. La nouvelle, genre devenu peu prisé dans la France contemporaine malgré le fabuleux âge d’or qu’elle a connu au XIXe siècle, présente l’avantage (outre celui d’être plus vite lue) de la concision et du resserrement de l’intrigue, en se concentrant sur des épisodes particuliers de la vie de ses protagonistes.


    Voici donc neuf Histoires extraordinaires et insolites d’astronomes. Vous y découvrirez combien les astronomes se comportaient parfois en têtes brûlées, risque-tout partant au bout du monde pour confirmer ou infirmer une théorie. D’autres se lançaient dans la politique au risque de monter sur l’échafaud, ou affrontaient les dogmes religieux et leurs autodafés. Certains d’entre eux, et non des moindres, savaient fort bien, la tête aussi près du bonnet que de Sirius, défendre leurs intérêts, quitte à franchir les bornes de la légalité ou de la simple morale, sans trop s’étouffer de scrupules.
    Le fil rouge de ces nouvelles pourrait s’intituler : « La vie quotidienne des astronomes européens, de la Renaissance à l’Avant-Guerre. » Vie quotidienne qui n’a rien de routinière, puisqu’elle peut se terminer par un assassinat (nouvelle 1), un incendie (nouvelle 2), la guillotine (nouvelle 6) ; vie quotidienne en Laponie d’où l’on ramène en souvenir deux jeunes filles destinées à devenir des objets sexuels (nouvelle 3), ou au Pérou dont le Paradis espéré se transforme vite en interminable Purgatoire (nouvelle 4) ; vie quotidienne à Paris, entre Jardin des Plantes et Observatoire, où l’on doit supporter les propos boursouflés d’un naturaliste (nouvelle 5), les divagations d’un illustre poète (nouvelle 7) ou encore la tyrannie d’un directeur oscillant entre génie et crédulité (nouvelle 8) ; vie quotidienne provinciale enfin, où l’on consacre ses loisirs à relier un de ses ouvrages en pleine-peau découpée dans la voluptueuse épaule d’une amante défunte (nouvelle 9).


    Au total, neuf histoires alternant le tragique et le comique, le rire et les pleurs, la violence et la tendresse, mais toujours dans le souci d’enseigner de façon plaisante la longue marche des astronomes vers l’inatteignable vérité de l’univers. »

  • La vie des océans profonds

    La vie des océans profonds

    Un navire de l’Administration Nationale Océanique et Atmosphérique (NOAA) américaine quitte la Floride ce 14 janvier pour une mission exceptionnelle.

    Nous le savions, 70% de la surface terrestre est de l’océan, dont 80% reste inconnu. Oui, les deux environnements qu’il reste à l’homme à explorer sont… l’espace et les mers.

    Alors qu’on pourrait dire que l’on connait la surface de Mars ou de la Lune mieux que ces océans, alors que l’homme s’aventure de plus en plus dans l’espace, la NASA ne néglige pas notre terre.

    Avec un projet qui s’appelle « Orpheus », un robot sous-marin qui utilise beaucoup des technologies de navigation et d’imagerie des missions spatiales, notamment du Rover Martien Perseverance.

    Le cadre de recherche conjointe entre le laboratoire NASA/JPL et l’Institut Woods Hall du Massachusetts (WHOI) porte le nom de «Hades» (Dieu des ténèbres), cet environnement de tranchées sous-marines va jusqu’à 10-11 km sous les surfaces des mers.

    L’objectif est d’y faire plonger ce petit robot de 250kg. qui subira d’immenses pressions et dans une obscurité totale, et explorer la vie de plantes, de bactéries, de crustacés et même des espèces poissons ou animaux carnivores, et d’analyser la matière organique des fonds.

    Cela n’est pas sans rappeler la lune de Jupiter, Europa, et qui, sous sa surface glacée, cache un océan jusqu’à 150km de profondeur qui contient deux fois d’eau que tous les océans de la Terre.

    « Comment pourrions nous conduire une exploration de Jupiter sans le faire auparavant sur notre planète« , commente un des chercheurs de la mission.

    Sources : Communiqué de JPL Pasadena – Images JPL, NOAA et Marine Imaging Technologies, LLC/Woods

  • On parle de cochons?

    On parle de cochons?

    Une première greffe d’un cœur de cochon sur un homme – considérée comme très prometteur pour tous ceux qui attendent un cœur humain pour une transplantation – fait les titres de l’actualité. Sujet très intéressant en lui-même.

    Par coïncidence totale, en triant les piles de dossiers de travail et souvenirs de famille – tache bien ardue – j’ai trouvé trois dessins de mon père qui était dessinateur/illustrateur. L’un montre de magnifiques petits cochons.

    L’ensemble illustre pourquoi mon père a toujours profondément aimé, en Angleterre et en France, la campagne et le milieu rural. Et nous suivons dans ses pas avec nos poules !!