Image d’un document des douances françaises, expliquant les conséquences de nouvelles mesures aux frontières dès le 1er janvier.
On peut facilement imaginer comment un Franco-anglais imprégné de valeurs européennes, ayant vécu et travaillé dans les deux pays et bien d’autres d’une Europe solidaire et unie, avec des enfants et petits-enfants également européens et même plus, réagit à cette bêtise monumentale qu’est le Brexit.
Le symbolisme de l’image, d’une famille déchirée avec l’enfant séparé de sa peluche, est atroce, très probablement illustration d’un anti-Brexit des douanes françaises.
Réaction de Christian Lardier : Cher Martin, j’étais en Angleterre en 1969 et à l’époque, la majorité des Anglais ne voulaient pas entrer dans l’Union Européenne. En 1970, mon premier vote (j’avais 18 ans, car ayant devancé l’appel pour le service militaire, j’ai obtenu ce droit alors que la majorité était à 21 ans) était un OUI au référendum sur l’Europe. J’étais pro-européen, mais je savais que les Anglais étaient contre leur adhésion. 50 ans plus tard, après avoir été l’empêcheur de tourner en rond et le bras armé des Américains au sein de l’Europe, ils ont décidé de partir à 52 % : cela ne m’a pas étonné !!
Updated/maj. 18-12-2020
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