J’ai un ami, ancien collègue, astronome et passionné de photo et de la physique de la lumière, qui alimente un blog de photos personnel avec des images bien originales. Ici, la plus récente, intitulée “Induced glow in LED bulb from a Plasma Ball”. Et pour ceux qui le suivent, il se pose la question:
“Je savais que le champ électrique oscillant d’une balle de plasma illuminerait un tube fluorescent. Cependant, je ne prévoyais pas qu’il allumerait une ampoule LED à filament. Où sont les électrons qui oscillent dans la LED?
S’ensuivent des commentaires de nature scientifique :
“Peut-être dans le phosphore du LED? Avez-vous de la poudre de strontium aluminate (GID)? Tu peux fabriquer une ancien lampe de nuit avec un champ alternatif avec ça ou du ZnS”. Il conseille de lire un article sur la luminescence. Et fini en disant: “Cool picture”
“Belle image” : c’est là que j’interviens, bien modestement:
“Bob, Souvent dans de tels cas, la science me submerge, mais l’impact d’une telle image est d’une beauté surprenante. C’est comme dans l’astronomie qui intègre un aspect artistique, qui étincelle l’imagination, menant à la poésie, la peinture ou – comme avec Kepler – la musique. On devrait se dire: ‘Une image de science chaque jour’, un remède aux maladies de notre époque’. Gardes-toi bien.”
Bob me répond: “Thanks Martin. You are right! The ‘boundaries’ linking science and art are rich indeed.”
Updated/maj. 30-03-2021
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